Malgré les carences constatées pour faire face à cette épidémie dues aux décennies
de destruction de nos services publics, « on » a rien trouvé de mieux que de remercier
« ceux » que l’on envoie au front par un exutoire collectif d’applaudissements quotidiens censé leur faire oublier qu’avant de les parer de toutes les vertus,
on les a privés de tous les moyens.